jeudi 5 mars 2015

Passions

Bonjour,

Aujourd'hui, c'est le quotidien, rien de bien spécial. Je reviens d'une marche dans mon quartier mais pour être honnête je pense que je me suis un peu perdue de vue. Je n'ai pas marché aussi loin que je le voulais mais au moins j'ai réussi à faire quelques courses dans le coin et j'ai même réussi à décrocher et à oublier complètement le temps. C'est ce qui m'a valu de me perdre de vue, justement. J'étais dans ma bulle, tout simplement. 

Hier, je ne suis pas sortie et aujourd'hui, le beau soleil et le temps plus clément étaient carrément une invitation à sortir.

J'ai découvert qu'une nouvelle boulangerie -française en bonus-, vient tout juste d'ouvrir ses portes à quelques pas de chez moi. J'y ai fait un crochet, histoire de satisfaire ma curiosité. Ça sentait fort bon: le local est agréable, bien éclairé et convivial. Les pains, pâtisseries et petits régals tels que pizza cuites sur place, sandwichs frais m'ont tout l'air délicieux! Je me suis laissé tenté par une petite pizza végé à emporter, succulente et fraîche...J'en ai dévoré une part pour mon dîner et ce fut très bon.


Mes passions


J'ai pensé démarrer une autre petite chronique, cette fois sur différentes passions qui m'habitent. 
Oui, oui, des passions! On en veut pour nourrir le coeur et l'âme!

Et je commence tout de suite avec une première, qui est la photographie.
En fait je prends beaucoup de photo depuis longtemps pour m'amuser, parce que j'aime revoir les images qui m'ont frappé, ou tout simplement pour le plaisir.

J'aime aussi croquer des photos de scènes inusités ou des choses qui m'interpellent. 
Telle que cette jolie photo prise l'été dernier et que je vous partage.

Petites pensées sauvages au détour d'une ruelle de mon quartier
L'été surtout, j'aime beaucoup me promener à pied dans les ruelles de mon quartier: la circulation y est franchement moins dense, donc moins de bruit, plus de calme et je m'entends réfléchir, comme on dit. 

Ces mini pensées sauvages poussent au travers d'un vieux bloc de ciment abandonné au détour d'une ruelle. L'image m'a frappée car sur le coup, j'y ai vu un symbole de résilience des plus doux...

Fallait le faire quand même, aller se nicher dans un bloc de ciment, non?! La vie porte la vie, comme disait ma grand mère. Et non seulement la vie se porte elle-même mais elle s'organise pour trouer ce qui doit être troué, pour faire pousser ce qui doit pousser, béton ou pas. 

Symbole de résistance, de résilience, de beauté simple au coeur de la nature? Une sorte de résilience qui se fait en douceur, sans bruit, sans fanfare.
C'est probablement tout cela, au fond...

J'aime prendre en photo des visages, des paysages, des décorations urbaines etc.
Je vous promets de vous en partager d'autres bientôt! Je vais refaire un petit tour dans ma collection pour vous.

D'ici là, je vais recharger mes batteries avec un petit dodo.

À bientôt,


Mwasi Kitoko

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